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    Slipknot et la violence des notes de Jim Root

    metalchef
    metalchef


    Messages : 135
    Points : 310
    Date d'inscription : 09/12/2010

    Slipknot et la violence des notes de Jim Root Empty Slipknot et la violence des notes de Jim Root

    Message par metalchef Mer 26 Jan - 11:51

    Entre
    Slipknot et Stone Sour, Jim Root est un homme fort occupé depuis près de
    dix ans. Ce fut d’ailleurs assez difficile de lui mettre la main dessus
    pour avoir quelques informations sur le quatrième album de Slipknot,
    All Hope Is Gone. Celui-ci s’apprête à connaître un succès aussi
    important que les précédents en revenant à des ambiances proches d’Iowa
    tout en continuant dans l’ouverture d’esprit de Vol. 3 – Subliminal
    Verses…













    Entre Slipknot et Stone Sour, Jim Root est un homme fort occupé
    depuis près de dix ans. Ce fut d’ailleurs assez difficile
    de lui mettre la main dessus pour avoir quelques informations sur le quatrième
    album de Slipknot, All Hope Is Gone. Celui-ci s’apprête à
    connaître un succès aussi important que les précédents
    en revenant à des ambiances proches d’Iowa tout en continuant
    dans l’ouverture d’esprit de Vol. 3 – Subliminal Verses…
    Par Nicolas Didier Barriac


    Slipknot et la violence des notes de Jim Root Gl42-slipknot-1

    Pendant quelque temps, les gens ont pensé qu’il
    n’y aurait peut-être plus d’albums de Slipknot après
    Vol. 3 – The Subliminal Verses. Qu’est-ce qui vous a fait
    changer d’avis et vous mettre à bosser sur All Hope Is Gone ?

    Jim Root : Lorsque Corey Taylor et moi étions en tournée
    avec Stone Sour, nous nous doutions que nous ferions un nouvel album.
    En parlant à certains autres membres, nous nous sommes vite aperçus
    qu’il serait bon de voir ce dont nous étions capables. Le
    truc avec Slipknot, c’est que rien n’est vraiment prévu
    à l’avance (rires). Ça se passe ou ne se passe pas
    du tout !
    En tout cas, il faut attendre de plus en plus longtemps entre
    chaque album…

    J. R. : Oui et cela signifie simplement que ce que Corey et moi faisons
    avec Stone Sour marche plutôt bien (rires) ! Franchement, c’est
    la seule explication. Je n’ai pas un moment de libre et j’aimerai
    bien pouvoir faire autre chose de temps en temps. Je suis tout le temps
    occupé avec Stone Sour et Slipknot, sans relâche. Je passe
    d’un studio à un tourbus puis à un autre studio et
    ainsi de suite… Voilà ma vie depuis 1999 résumée
    en une phrase !
    Depuis que l’album est annoncé, vous avez fait beaucoup
    de « teasing » sur Internet avec des photos notamment.
    C’est un passage obligé de l’industrie du disque de
    nos jours pour vendre ses albums ?

    J. R. : Peut-être… Nous essayons avant tout de trouver des
    moyens originaux de faire parler de nous et de mettre un peu d’Art
    dans ce que nous faisons, car personne ne nous prend très au sérieux
    depuis que nous existons. Avec Vol. 3 – The Subliminal Verses nous
    avons commencé à gagner un peu de crédibilité
    en tant que compositeurs, mais avant nous n’étions qu’une
    bande de connards avec des masques qui sautaient dans tous les sens. Personne
    ne s’intéressait à nos chansons et à leur construction
    et je ne comprenais pas pourquoi. Peut-être que c’était
    simplement trop heavy ? Après, devons-nous faire ce teasing ?
    Internet rend les choses très accessibles et je ne serai pas surpris
    de me voir un jour sur Youtube en train de préparer du café
    (rires). Tu peux tout savoir sur n’importe qui par le biais d’Internet.
    Donc autant contrôler un minimum ce qu’on y diffuse.
    All Hope Is Gone est un titre à la signification très
    forte. Tu y adhères ?

    J. R. : Franchement, pas du tout (rires). Je n’ai pas trouvé
    ce nom. Je ne suis même plus très sûr qui l’a
    nommé ainsi même si j’ai ma petite idée…
    Nous faisons souvent les choses par pure provocation même si j’y
    adhère quand même en partie. Du point de vue des médias,
    il semblerait effectivement que tout espoir soit perdu. La guerre en Irak,
    la hausse du pétrole, les élections qui arrivent, le réchauffement
    climatique, etc. : où est l’espoir dans tout ça ?
    Mais c’est le point de vue des médias. En ce moment, je suis
    dans ma voiture et je reviens du Nebraska : l’herbe est verte,
    le ciel est bleu, les nuages sont magnifiques et les collines me rappellent
    le sud de la France. Tout ça est en opposition avec le discours
    des médias. Tout est donc une question de point de vue. J’essaie
    de garder un point de vue optimiste (rires).
    Et dans le disque, trouve-t-on aussi une part d’optimisme ?
    J. R. : Peut-être… Malgré la violence, il y aura forcément
    qui va renaître derrière. Peut-être que nous prenons
    cette voie et que l’optimisme de All Hope Is Gone réside
    là.
    Sur Vol. 3 – The Subliminal Verses, la majorité
    du groupe, et toi en particulier, n’a pas été content
    du travail (ou plutôt du non-travail) de Rick Rubin (Slayer, System
    Of A Down, Metallica, Linkin Park, etc.). Est-ce que cela s’est
    mieux passé avec Dave Fortman, un ex-Ugly Kid Joe, qui est
    connu pour ses réalisations aux côtés de Simple Plan
    et d’Evanescence ?

    J. R. : Tu sais quoi ? Je préfère ne rien dire à
    propos de Dave Fortman. Ma mère m’a dit de plutôt ne
    rien dire si je n’avais rien de gentil à dire. Disons simplement
    que j’aurais préféré avoir le plaisir de travailler
    avec un vrai producteur. En tout cas, c’est un ingénieur
    du son incroyable, car le disque sonne terriblement bien. Voilà :
    Dave Fortman est un très bon ingénieur du son (rires) !
    Est-ce que le groupe a expérimenté de nouvelles
    façons d’écrire ses chansons sur All Hope Is Gone ?

    J. R. : Non, pas vraiment. Cet album a été assemblé
    de bric et de broc (rires). J’aimerais dire que nous avons expérimenté
    et fait des trucs inédits, mais la vérité est que…
    en fait, non je retire ce que je viens de dire ! All Hope Is Gone
    est notre album le plus varié. Et pour en revenir à ce que
    je disais tout à l’heure, je pense qu’il fallait en
    passer par là. Nous n’avons jamais enregistré un album
    de cette façon et que le résultat soit bon ou mauvais nous
    n’y pouvons plus rien. Généralement Joey enregistre
    ses parties de batterie avec le reste du groupe qui l’accompagne
    dans une pièce à côté. Ce coup-ci il a presque
    tout joué sans nous et le disque s’est construit en couches
    à partir de là. C’était nouveau.
    Est-ce que vous écoutiez beaucoup de musique tout en enregistrant
    cet album, pour vous inspirer ?

    J. R. : Non, pas spécialement. Nous étions tellement à
    fond dans l’écriture que nous n’avions pas le temps
    de nous inspirer des autres ! Nous avons oublié de ce qui
    se passait autour de nous durant ces sessions.
    Avec neuf membres dans un groupe, on peut s’attendre à
    neuf personnalités. Quand on voit certaines grosses formations
    comme Metallica qui ont du mal à ne pas se taper dessus, on est
    en droit de se demander si les membres de Slipknot s’entendent bien…
    À titre personnel et humainement, avec quel membre du groupe t’entends-tu
    le mieux ?

    J. R. : Il y en a trois avec lesquels je m’entends super bien. Mais
    je pense que ça serait Clown ou Sid.




    Quel genre de chansons de Slipknot préfères-tu ?
    J. R. : En règle générale je préfère
    les titres cérébraux qui ont une ambiance pesante. J’aime
    le progressif, mais plus dans le genre Pink Floyd que Rush. Quand nous
    arrivons à incorporer ce son dans notre mixture de métal,
    je trouve le résultat vraiment intéressant. Du coup j’adore
    des morceaux comme Danger ou Iowa. Ils font vraiment peur !
    Quand une tournée de Slipknot passe par Paris, qu’est-ce
    que tu aimes faire pendant ton temps libre dans notre belle capitale (rires) ?

    J. R. : J’aime me balader de mon hôtel jusqu’à
    un café sympathique, glander et regarder les gens. La dernière
    fois que j’étais à Paris, mon roady et moi avons marché
    de la Place de la Concorde jusqu’aux Champs-Élysées.
    Se balader dans cette ville est incroyable. Il y a tellement d’Histoire
    à chaque coin de rue. Parfois j’aimerai mieux faire ça
    que jouer (rires) ! Je ne suis jamais allé à la Tour
    Eiffel ou à l’Arc de triomphe, mais il faudra que je le fasse.
    Pour le moment, j’étais plus occupé à trouver
    des restaurants et des cafés sympas. Je prends des centaines et
    des centaines de photos aussi de mes pérégrinations parisiennes
    (rires).
    Tu as visité d’autres endroits en France que Paris ?
    J. R. : Tout à fait. D'ailleurs, une de mes villes françaises
    préférées est Lyon. C’est un endroit superbe.
    Malheureusement, nous ne passons pas suffisamment de temps dans le sud
    de la France... J’aimerai bien aller à la plage un de ces
    quatre, car nous ne sommes passés par là qu’une seule
    fois, rapidement. Nous avons joué dans plusieurs villes françaises
    et aucune ne m’a déplu.
    Pour finir, qu’est-ce qui tourne en boucle dans ton iPod
    récemment ?

    J. R. : Je viens d’acheter l’album de MGMT et je l’écoute
    pas mal. Sinon j’écoute surtout du Pink Floyd et pas mal
    de vieilleries, des trucs que je connais bien. Clown et moi avons également
    écrit de la musique et j’aime bien écouter ça,
    tout comme notre nouvel album, à faible dose. En règle générale
    les nouvelles sorties ne m’intéressent pas beaucoup.

      La date/heure actuelle est Dim 19 Mai - 15:00